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ICDED 2022 : Troisième Congrès International sur l'Économie du Désert

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Link: https://sahara-economy3.sciencesconf.org/
 
When May 11, 2022 - May 12, 2022
Where Dakhla, Maroc
Submission Deadline TBD
 

Call For Papers

Le Congrès International sur l'Économie du Désert - Dakhla (ICDED), est co-organisé chaque année par l'École Nationale de Commerce et de Gestion (ENCG) de Dakhla-Maroc et le Conseil Régional de la region de Dakhla Oued Eddahab. Cette troisième édition se tiendra les 11 et 12 Mai 2022 à Dakhla, Maroc.

La finalité du Congrès International sur l'Économie du Désert – Dakhla, est d'être une plateforme de recherche scientifique interdisciplinaire sur l'économie, le management, et le développent du désert (développement rural), du Sahara et des régions arides (zones arides, semi-arides, hyperarides, sèches, oasis et zones rurales éloignées), afin de contribuer efficacement dans la bonne gouvernance et le développement durable des régions désertiques, partout dans le monde, en passant par l'encouragement et la promotion des investissements dans le Sahara et les déserts, et en suscitant des rencontres entres toutes les parties prenantes à l’échelle mondiale: Universitaires, professionnels, décideurs politiques, société civile et les ONG, en vue de favoriser la coopération et le partenariat entre les pays désertiques : l’Afrique et les pays du Golfe (MENA et Sahel ...), les États-Unis d'Amérique, l'Australie, la Chine, l’Inde, l’Amérique du Sud…, dans le but de valoriser et de promouvoir la connaissance du désert et les conclusions et recommandations des études et conférences qui y sont en relation, et de créer un environnement propice d’échange d’expériences, d’expertise, de formations, de pratiques pédagogiques et d'innovation, autour des thèmes relevant de l’économie du désert et du management des régions arides, tels que L'industrie et l’économie du tourisme et du voyage; Économie, gestion et production de l'élevage; L’agriculture, l'aquaculture et l’économie agricole (l’économie rurale); L'économie de l'eau; Les énergies renouvelables, l’économie de l'énergie et la gestion de l'énergie; Les mines et la gestion des ressources naturelles; Le transport et la logistique; La pêche maritime, l'économie de la mer et l'économie (bleue) océanique; L'industrie spatiale et l'économie de l'espace; La technologie et l’innovation; Les sports nautiques et loisirs, l'économie et la gestion du sport (management du sport); Le patrimoine culturel, matériel et immatériel; Conservation et gestion de la nature, de l'environnement, de la biodiversité et des zones humides…

Ainsi chaque année une édition sera organisée. Outre le thème principal de cette troisième édition intitulée « Économie de l'Énergie entre Déserts et Océans», elle sera également consacrée à des questions générales relatives à l'économie et au management des régions arides, du Sahara et du désert et à leur développement durable.

Dakhla, Conférence Internationale sur l'Économie du Désert, Sahara. Économie de l'Énergie entre Déserts et Océans. régions, zones arides, ENCG Dakhla, Maroc

Argumentaire.

Peu à peu, nous reconnaissons les avantages incroyables de la collaboration interafricaine (et le coût énorme du manque de coopération interafricaine), tant pour l'Afrique elle-même que pour le monde. Grâce aux coopérations multilatérales africaines et internationales, les déserts et les zones arides du monde entier, notamment en Afrique (Sahara et Sahel), avec leurs vastes côtes naturelles et leurs riches façades maritimes, sont un atelier ouvert et une scène de mégaprojets transsahariens et d'infrastructures substantiels : Le projet Desertec (Énergie propre et renouvelable), l'Initiative de la Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel (Verdir le Sahara et lutter contre la désertification), le projet «Trans Africa Pipeline, TAP» (l'Eau), l'Initiative «Power Africa», l'Initiative «Desert to Power» ... De tels mégaprojets et initiatives prometteuses, s'ils sont pleinement mis en œuvre, aideront sans aucun doute à restaurer l'Afrique à la place qu'elle mérite et joueront un rôle central dans le développement durable et dans la préservation de la sécurité alimentaire en Afrique, encore plus, ils fourniront l'abondance de la production pour l'exportation.

L'Afrique possible, où il y a tous les ingrédients: diversité et jeunesse, richesse en ressources naturelles, configuration géographique et morphologie uniques: savane, forêts, montagnes, lacs, vastes côtes, déserts et le grand désert du Sahara.

Le désert du Sahara, au lieu d'être sous-exploité, il pourrait être un avantage concurrentiel exclusif et une image de marque mythique et mémorable pour l'Afrique, aussi il pourrait être le lieu idéal pour démarrer une coopération interafricaine et internationale forte et à long terme au service de l'humanité.

Le développement durable ciblé dans les régions arides, comme partout ailleurs, est régi par une transformation environnementale, qui modifiera profondément notre mode de vie, la durabilité étant la pierre angulaire de ce développement. En effet, des concepts tels que l'économie verte ou l'économie circulaire, l'économie bleue ou océanique et l’écotourisme (tourisme du désert), sont tous supposés dépendre d'énergies propres et renouvelables. Ainsi, l'impact environnemental de l'activité humaine, comme l'industrie du voyage et du tourisme, la logistique et les transports terrestres et maritimes, l'agriculture et la pêche ... constitue un critère essentiel pour marquer le degré de réceptivité et de continuité de ces activités économiques, à la lumière d'un arsenal juridique de plus en plus respectueux de l'environnement et axé sur la finance verte et les technologies propres.

Notre développement économique dépend entièrement des interactions entre l'énergie comme une ressource et les systèmes économiques, où notre dépendance à l'égard d’énergies propres et renouvelables est de plus en plus confirmée. L’économie de l’énergie pourrait être définie comme une branche d’études économiques, consacrée au décodage quantitatif et qualitatif de notre bien-être et de notre prospérité dans leur interaction avec les ressources énergétiques.

Selon l'Agence Internationale des énergies renouvelables, d'ici 2050 l'investissement total dans le secteur énergétique devrait atteindre 110 000 milliards $ (environ 2 % du PIB annuel moyen sur cette période), ainsi 15 000 milliards $ est le niveau des investissements supplémentaires nécessaires pour parvenir à une solution plus respectueuse du climat, que les plans et les politiques actuels. La part des énergies renouvelables dans le total de la consommation finale d'énergie, au niveau mondial, doit être multipliée par six pour atteindre les objectifs climatiques convenus, plus précisément, le septième objectif de développement durable, qui vise à garantir l'accès de tous à des services énergétiques fiables, durables et modernes, à un coût abordable. Pour cela, les flux financiers internationaux vers les pays en développement, en faveur des énergies propres et renouvelables, ont atteint 18,6 milliards $ en 2016, soit presque le double de 9,9 milliards $ en 2010, cette tendance est susceptible de s'accentuer en raison des opportunités prometteuses offertes par une baisse constante des coûts de production d’énergie renouvelable, ce qui se traduit par un recul des prix.

Jusqu'à présent dans certains pays, les océans sont la principale source d'énergies conventionnelles (pétrole, gaz), malgré leur richesse en énergies marines renouvelables : énergies marines renouvelables et traditionnelles (l'énergie éolienne marine et l'énergie solaire marine), l’énergie des vagues et celle des marées, en tant que formes spécifiques de l'énergie marine (océanique). Sachant aussi que les coûts d'énergies renouvelables basées sur les océans, n'ont pas encore atteint le niveau d'économies d'échelle, nécessaires pour réduire les coûts de manière significative, mais, puisque les océans et les mers couvrent plus de 70 % de la surface de la Terre, il n’est pas surprenant qu’une grande partie de la production future d’énergie, proviendra probablement d’énergies renouvelables basées sur les océans, et pour en montrer la surabondance, des études publiées ont révélé que le potentiel d'énergie éolienne des océans est si important et largement suffisant, qu'il pourrait théoriquement être utilisée pour propulser la civilisation humaine.

Le Maroc a relevé le défi consistant à augmenter la part d'électricité issue d'énergies renouvelables à 52% d'ici 2030, cette part étant initialement fixée à 42% d'ici 2020. Ce plan a connu le succès grâce à l'adoption d'une stratégie énergétique ambitieuse, incluant la production d'énergies renouvelables dans les déserts Marocains: le complexe solaire d’Ouarzazate (Noor), le plus grand parc éolien d’Afrique, situé dans le désert côtier de la ville de Tarfaya, ainsi que le projet devant être mis en œuvre au Sahara dans la région de Dakhla, qui vise à générer de l'énergie renouvelable et propre, à partir du vent, cette énergie éolienne sera utilisée dans l'extraction minière de Crypto-monnaies basées sur la technologie du Blockchain, comme le Bitcoin.

Dr. Elouali AAILAL: Président et Coordinateur du Congrès International sur l’Economie du Désert - Dakhla. Maroc.


Thématiques.
Puisque le Congrès International sur l'Economie du Désert - Dakhla, est une plate-forme de recherche scientifique interdisciplinaire sur le désert et les régions arides, et en raison du manque de littérature économique et scientifique sur les déserts, les zones arides et le Sahara, il y aura une variété de thèmes et les contributions seront axées principalement autour de l’un des thèmes (non exhaustifs) suivants:
1- Initiatives et mégaprojets transsahariens (transafricains):
o Le projet DESERTEC;
o L'Initiative de la Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel (IGMVSS);
o Le projet «Trans Africa Pipeline» (Amener de l'Eau dans le Grand Sahara et le Sahel);
o L'initiative « Power Africa »;
o L'initiative « Desert to Power » (l'initiative "Du désert à l'électricité");
o Le projet «Port Dakhla Atlantique »;
o Le gazoduc Maroc - Nigeria;
o La zone de libre-échange continentale Africaine ZLECAf (la route de la soie Africaine);
o L'initiative des États-Unis d'Amérique: « Prosper Africa »;
o La région MENA et l'initiative Chinoise « La nouvelle route de la soie » (laroute maritime de la soie).
2- Coopération et partenariats économiques régionaux et interafricains au Sahara et au Sahel.
3- Coopération internationale en matière de la recherche scientifique et du développement (R&D) des régions arides (du désert et du Sahara).
4- Business, entrepreneuriat et investissements dans les régions arides (désert, Sahara) et les zones rurales éloignées.
5- Business et entrepreneuriat dans le secteur de l'énergie et gestion de l'énergie.
6- Énergie, désertification, changement climatique (résilience et adaptation) et environnement.
7- Énergies renouvelables et transition énergétique.
8- Énergie renouvelable offshore, énergie éolienne marine et énergie solaire marine (énergie océanique).
9- Énergie des vagues (houlomotrice) et Énergie des marées (marémotrice).
10- Énergie sobre en carbone: Power-to-X et hydrogène vert (aspects économiques, sociaux et environnementaux).
11- Déserts (régions arides, Sahara), industrie spatiale et économie de l'espace.
12- Déserts (zones arides, Sahara) et transformation économique mondiale.
13- L'économie de l'eau, énergie et la gestion des ressources hydrauliques.
14- L'offre et la demande d'énergie.
15- Gestion des crises énergétiques, gestion des risques énergétiques et les impacts de la crise du coronavirus sur le secteur de l'énergie (avant la crise, pendant et après la crise Covid-19 ).
16- Accès à l'énergie et sécurité énergétique.
17- Ressources énergétiques conventionnelles: pétrole (hydrocarbures), gaz et charbon.
18- L'énergie dans l'industrie du tourisme, de voyage et de l'hôtellerie.
19- L'énergie dans l'agrobusiness, dans l'aqua-business (l'aquaculture) et dans d'industrie de la pêche maritime (halieutique).
20- La sécheresse, la gestion de la rareté de l'eau et le désenclavement des zones rurales (arides) reculées.
21- Énergie et sécurité alimentaire dans les terres arides, agriculture aride (agriculture du désert), agriculture biosaline, agriculture de précision et la rationalisation de l'irrigation (aspects économiques, sociaux et environnementaux).
22- Économie, gestion et production de l'élevage (camelin, bovine, moutons…).
23- Économie agricole (économie rurale).
24- Transport, logistique, gestion de la chaîne logistique et mobilité durable (l'écomobilité).
25- Modélisation de l'économie de l'énergie.
26- Législation (lois), réglementation et politique énergétiques.
27- Nouvelles technologies (Intelligence Artificielle, Blockchain ...) et efficacité énergétique (aspects économiques, sociaux et environnementaux).
28- Électricité durable hors-réseau pour les zones rurales reculées (arides) et réduction de la pauvreté.
29- Géologie économique et géographie économique.
30- Industrie du tourisme (écotourisme, tourisme de nature, tourisme durable), des voyages et d'hôtellerie dans les régions arides (déserts et Sahara).
31- Économie océanique, économie de la mer (maritime) et économie bleue.
32- Économie et gestion des pêches et de l'aquaculture.
33- L'industrie du tourisme (économie du tourisme), de voyage et de l'hôtellerie.
34- Économie du sport, management des sports nautiques (aquatiques) et économie des loisirs.
35- Entrepreneuriat culturel et gestion du patrimoine matériel et immatériel (arts, industries créatives, industrie musicale, artisanat traditionnel et artisans).
36- Économie verte, économie circulaire, et développement durable.
37- Économie sociale et solidaire, et responsabilité sociétale des entreprises (RSE).
38- Politique publique (planification et développement spatial), développement régional (développement territorial), développement rural (entrepreneuriat rural) et développement des oasis et des régions éloignées.
39- Investissement public/privé et climat des affaires.
40- Collaboration internationale et logistique du commerce.
41- Migrations et ODD.
42- Management, gouvernance et enjeux de la durabilité.
43- Entrepreneuriat, marketing et innovation.
44- Économie du savoir et capital humain.
45- Finance et système financier.
46- Économie numérique.
47- Intelligence économique.

Comité d’Organisation.
Dr. Elouali AAILAL : Président et Coordinateur du Congrès International sur l’Economie du Désert - Dakhla. Président de l'association " Desert Action " . Dakhla. Maroc.
Membres:
• Elouali Aailal. Enseignant chercheur à l’ENCG de Dakhla.
• Aziz Sair. Directeur de l'École Nationale de Commerce et de Gestion (ENCG) de Dakhla. Maroc.
• Juan Manuel Benitez. Doyen de la Faculté d’Economie, Tourisme et des Entreprises. Université de Las Palmas de Gran Canaria. Espagne.
• Kaoutar Roussi. Enseignante chercheuse à l’ENCG de Dakhla.
• Hassane Amaazoul. Enseignant chercheur à l’ENCG de Dakhla.
• Hajar El Moukhi. Enseignante chercheuse à l’ENCG de Dakhla.
• Lamiae El Kahri, Enseignante chercheuse à l’ENCG de Dakhla.
• Mehdi Boutaounte. Enseignant chercheur à l’ENCG de Dakhla.
• Youssef Hanyf. Enseignant chercheur à l’ENCG de Dakhla.
• Lahoucine Assellam. Enseignant chercheur à l’ENCG de Dakhla.
• Salek Riadi. Enseignant chercheur à l’EST Laâyoune.
• Mohamed Er-Raji. Enseignant chercheur à l’ENCG de Dakhla.


Comité Scientifique.
• Assia BenSalah Alaoui. Conseil d’Orientation de l’Institut Royal d’Etudes Stratégiques (IRES)- Rabat. L’Association « Leaders pour la Paix ». « The Moroccan-British Association». L’Association d’amitié Maroc-Japon. Maroc.
• Aziz Sair. Directeur de l'École Nationale de Commerce et de Gestion, ENCG Dakhla. Maroc.
• Keith W. Martin. Membre fondateur de « The Sahara Spirit Foundation ». Maroc. Membre du comité de Rotary International, États-Unis.
• Sharon Megdal. Présidente du Consortium international des terres arides. Directrice du Centre de recherche sur les ressources hydriques de l'Université d'Arizona (WRRC). Arizona, États-Unis.
• Paul Van Son. PDG de Desertec Industrial Initiative. Énergie du désert. Président d'honneur de la Fédération européenne des négociants en énergie (EFET). Allemagne.
• Nasir El Bassam. Directeur du Centre international de recherche sur les énergies renouvelables. États-Unis. Président du Conseil mondial des énergies renouvelables. Allemagne.
• Brian Sandoval. Président de l'Université du Nevada, Reno. Ancien Gouverneur de l'État du Nevada, États-Unis.
• Ghaleb Alhadrami. Doyen et Vice-Président de l'Université des Émirats Arabes Unis. Émirats Arabes Uni.
• Alan Gertler. Vice-président de la recherche de «The Desert Research Institute » (DRI) Reno et directeur du Centre des technologies propres et des énergies renouvelables. Nevada, États-Unis.
• Jean Luc Chotte. Président du Comité Scientifique Français de la Désertification (CSFD). Directeur de Recherche à l'Institut de Recherche pour le Développement (IRD). France.
• Juan Manuel Benitez. Doyen de la Faculté d’Economie, Tourisme et des Entreprises. Université de Las Palmas de Gran Canaria, Espagne.
• James Smith. Président élu de l'Association internationale de l'économie de l'énergie (IAEE). Université Méthodiste du Sud. Texas, États-Unis.
• Roderick Tennyson. Co-Fondateur et Président de Trans Africa Pipeline Inc (TAP). Institut d'Etudes Aérospatiales, Université de Toronto. Canada.
• Mustapha Taoumi. Expert principal en énergie propre au EU GCC, CETN III. EAU. Ancien Responsable régional pour la région MENA à l'Agence Internationale pour les Energies Renouvelables (IRENA). Maroc.
• Carmelo Rodriguez Torreblanca. Président de l'Université d'Almería. Espagne.
• Hillard Huntington. Directeur du Forum de modélisation énergétique. Université de Stanford. Californie, États-Unis.
• Jimmy Cocking. PDG du Centre d'environnement des régions arides. Vice-président de « The Australian Conservation Foundation». Directeur de « The Desert Knowledge Australia », Australie.
• Johan Hollander. Université Maritime Mondiale (UMM), Institut Mondial de l'Océan, et Organisation Maritime Internationale (OMI). Suède.
• Mustapha Naimi. Institut universitaire de la recherche scientifique, Rabat. Maroc.
• Ousmane Dramé. Président de l'Université Ahmed Baba. Président de la Coalition pour l'Enseignement Supérieur au Mali. Commissaire de la gouvernance du Réseau International des Etablissements d'enseignement Supérieur de la zone CAMES. Mali.
• Bernard Faye. Fondateur et premier Président de la Société Internationale de Recherche et de Développement des Camélidés (ISOCARD). Camélologue au Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (CIRAD). France.
• Mubarak Abdalla. Directeur de l'Institut d'études sur la désertification et l’agriculture du désert. Vice-doyen des études agricoles et vétérinaires, Université de Khartoum. Soudan.
• Poul Alberg Østergaard. Directeur du programme de planification et de gestion de l'énergie durable. Université d'Aalborg. Danemark.
• Gabriel del Barrio. Station expérimentale des zones arides, Almería. Le Conseil supérieur de la recherche scientifique. Espagne.
• Mahamat Saleh Daoussa Haggar. Président de l'Université de N'Djaména. Tchad.
• André Torre. Directeur de la MSH de l'Université Paris-Saclay. Directeur de recherche à l'Institut National de la Recherche Agronomique (INRA). Président de l'Association Européenne de Science Régionale (ERSA). France.
• Sergio Moreno Gil. Co-directeur des relations internationales à la Chaire UNESCO de tourisme et de développement économique durable. Université de Las Palmas de Gran Canaria, Espagne.
• Maureen McCarthy. Directrice de Recherche de «Tahoe & Great Basin», l'Université du Nevada. «The Desert Research Institute » (DRI). Reno. Nevada, États-Unis.
• Christoph Lütge. Directeur de l'Institut pour l’Ethique de l’Intelligence Artificielle. Université Technique de Munich. Allemagne. Ancien Professeur invité à l'Université Harvard, Cambridge, Massachusetts. États-Unis.
• Najat El Mekkaoui. Université Paris Dauphine. France. Membre du conseil d’administration de la Banque Centrale Marocaine (Bank Al-Maghrib), Présidente du comité de pilotage des fonds sociaux. Maroc.
• El Moustapha Sidi Mohamed. Directeur de l'Institut Supérieur de Comptabilité et d'Administration des Entreprises, ISCAE. Mauritanie.
• Aykut Olcer. Directeur de la gestion de l'énergie maritime. Université Maritime Mondiale (UMM). Suède.
• Kader Kaneye. Fondateur et Président de l’African Development University. Niger.
• Romila Verma. Fondatrice et Directrice de Trans Africa Pipeline Inc (TAP). Université de Toronto. Canada. ISMARE Environnement. Inde.
• Niels Vestergaard. Directeur du Centre de Gestion et d'économie des pêches (halieutique) et de l'aquaculture (FAME). Université du Danemark du Sud. Danemark.
• Latifa Lankaoui. Membre du conseil d'administration du Forum d'Echanges et de Rencontres Administratifs Mondiaux (FERAM). FSJES Souissi, Université Mohammed V, Rabat. Maroc.
• Nishanov Nariman. Economiste au Centre international de recherche agricole dans les zones arides (ICARDA). Coordinateur national de projet de la FAO à l'Initiative du désert d'Asie centrale (CADI). Ouzbékistan.
• Heriberto Suárez. Institut du tourisme et du développement économique durable, Université de Las Palmas de Gran Canaria. Espagne.
• Jinlong Ma. Université de Melbourne. Australie, Vice-président du Centre de l'énergie durable de l'APEC, Université de Tianjin. Chine.
• Houcine Khatteli. Directeur Général de l'Institut des Régions Arides. Tunisie.
• Hassan Ramou. Institut des Études Africaines (IEA), Rabat.
• Abdou Maisharou. Directeur général de l'Agence de la Grande Muraille Verte pour le Sahara et le Sahel (GMV). Niger.
• Ole Kristian Sivertsen. PDG de Desert Control. Norvège.
• Andreas Walmsley. Centre Islandais de recherche sur le tourisme, Université d'Islande. Islande. Université de Coventry. Royaume-Uni.
• Khaled Sharbatly. Desert Technologies. Arabie Saoudite.
• Juan Luis García. Directeur du Centre du Désert d'Atacama. Faculté d'histoire, de géographie et de sciences politiques. Chili.
• Lhassan Elmrani. Président du Centre d'études et de développement des territoires oasiens et désertiques. Errachidia.
• Julius Gatune. Le Centre Africain pour la transformation économique. Afrique du Sud.
• Aicha Oujaa. Institut National des Sciences de l'Archéologie et Patrimoine, Rabat.
• Hanaa Hachimi. Présidente de “The Moroccan Society of Engineering Sciences and Technology”. Directrice du Laboratoire de Génie des Systèmes, Université Sultan Moulay Slimane, Beni Mellal..
• Abdelbassat Elhajoui. Directeur pédagogique à l'Ecole de Management du Sport (SMS). Rabat.
• Celestin Christian Tsala Tsala. Université de Yaoundé I. Cameroun.
• Ouafae Ouariti Zerouali. ENCG, Agadir.
• Fatima Arib. Directrice de l'ACISS. Université Cadi Ayyad, Marrakech.
• Najat Ouaaline. FST, Université Hassan 1er, Settat.
• Asmae Bouaouinate. FLSH, Mohammedia.
• Hamid Nechad. ENCG, Tanger.
• Jamila Saidi. FLSH, Mohammedia.
• Zakaria Ez-zarzari. FSJES, Université Ibn Tofail, Kénitra.
• Oumhani Eddelani. FSJES, Université Sidi Mohammed Ben Abdellah , Fès.
• Mounir Jerry. FSJES, Université Ibn Tofail, Kénitra.
• Aimad Elhajri. FSJES, Université Cadi Ayyad, Marrakech.
• Ghita El Kasri. Co-fondatrice de Blockchain Embassy et Schoonect, EdTech pour l'engagement des étudiants. Casablanca.
• Seedou Mukhtar Sonko. Université Assane Seck de Ziguinchor. Sénégal.
• Kaoutar Roussi. ENCG, Dakhla.
• Hassane Amaazoul. ENCG, Dakhla.
• Hajar El Moukhi. ENCG, Dakhla.
• Mehdi Boutaounte. ENCG, Dakhla.
• Youssef Hanyf. ENCG, Dakhla.
• Lamiae El Kahri. ENCG, Dakhla.
• Lahoucine Assellam. ENCG, Dakhla.
• Fadoua Lemsagued. ENCG, Dakhla.
• Mohammed El Amrani. ENCG, Dakhla.
• Asmae El Hidani. ENCG, Dakhla.
• Salek Riadi. EST, Laâyoune.
• Mohamed Er-Raji. ENCG, Dakhla.
• Aziz Hantem. ENCG, Dakhla.
• Chahida El Idrissi. ENCG, Dakhla.
• Ouafae Bouchaf. ENCG, Dakhla.
• Cheikh Mohamed Maoulainine. Directeur Régional du Haut Commissariat au Plan, Dakhla.
• Bathily Diahara. Université des Sciences Juridiques et Politiques de Bamako. Mali.
• Abdellah El Boussadi. ENCG, Casablanca.
• Abdelkarim Asdiou. ENCG, Casablanca.

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